Face à une demande croissante de la population mondiale, l'aquaculture offre un complément stable et durable à l'apport d'une pêche responsable.
Selon la FAO (Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture, ou en anglais Food and Agriculture Organization of the United Nations), en 2012, plus de la moitié
de la consommation mondiale de poissons provient de l'aquaculture.
Afin de proposer au consommateur un poisson de qualité, les pisciculteurs se sont inscrits, dès 2001, dans une démarche de développement durable reposant sur plusieurs points :
le bien-être du poisson,
la protection sanitaire du milieu,
la protection des ressources en eau : utilisée quotidiennement, l'eau est restituée dans les meilleures conditions impliquant une surveillance constante,
une alimentation performante et réglementée pour minimiser l'impact dans l'environnement et préserver les ressources.
Ce sont des bassins installés sur source ou en dérivation des rivières.
500 sites sont répartis dans les régions françaises (plus de 50% de la production en Nouvelle Aquitaine, dans les Hauts de France et en Bretagne).
Parmi les poissons d'eau douce, on trouve notamment : la Truite Arc-en-ciel, l'Ombre Chevalier, le Saumon de Fontaine, la Truite Fario.
A noter que la Truite Arc-en-ciel représente aujourd'hui 96% de la production nationale.
Ce sont des cages flottantes en pleine mer, côté Méditerrannée.
Il y a aussi des bassins à terre, côté Atlantique, Manche et mer du Nord.
50 sites sont répartis le long du littoral.
Parmi les poissons d'eau douce, on trouve : le Bar, la Dorade Royale, le Turbot, le Maigre, le Saumon, la Sole ou encore l'Esturgeon.
Le terme « nouvelle » correspond à la production d'esturgeon.
(Remerciements : CIPA : Comité Interprofessionnel des Produits de l'Aquaculture).
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